TERRE D’ASILE, TERRE D’EXIL
Mars 1946. La France meurtrie mais victorieuse panse ses blessures. Partout il faut reconstruire. Des maisons, des ponts, des édifices... Les gouvernements et les chefs d’état se succèdent comme des médecins au chevet d’un malade. Le bonheur est à conquérir, la vie à réinventer, on travaille, on fait des projets, on sème du blé dans les campagnes...
Mars 1946. La France meurtrie mais victorieuse panse ses blessures. Partout il faut reconstruire. Des maisons, des ponts, des édifices... Les gouvernements et les chefs d’état se succèdent comme des médecins au chevet d’un malade. Le bonheur est à conquérir, la vie à réinventer, on travaille, on fait des projets, on sème du blé dans les campagnes...
Dimitri et Stavro débarquent à Marseille par un de ces soirs pleins de promesses. Direction : Port de Bouc, un petit port de construction navale au bord de la Méditerranée.
La communauté grecque accueille les deux garçons. Beaucoup sont très pauvres et vivent dans des baraques sans eau ni électricité. Ils s'appellent Théodoraki, Costa, Barbayani, Catina, Aphrodite, Getsimani…Ils viennent de Chypre, de Castelloriso, de Kalymnos, d'Asie Mineure…Ils habitent la Tranchée, les Combattants, les cités ouvrières de la Lèque…
Des souvenirs de déchirure, d’exil, dont on parle peu de peur de se perdre, un quotidien où il faut lutter encore, contre soi et les autres, pour s’intégrer, trouver sa place, un futur qu’on imagine ailleurs, là-bas, sur cette terre dont chaque jour les éloigne un peu plus, un futur qui se dérobe lorsqu’on n’a plus de pays...
Mais l’espoir s’impose dans cette France victorieuse…
Hélène POLYDOROS aborde avec pudeur, sans donner à voir mais à entendre, la thématique de l’immigration vécue comme un exil lorsque le retour au pays n’est pas possible.
Des souvenirs de déchirure, d’exil, dont on parle peu de peur de se perdre, un quotidien où il faut lutter encore, contre soi et les autres, pour s’intégrer, trouver sa place, un futur qu’on imagine ailleurs, là-bas, sur cette terre dont chaque jour les éloigne un peu plus, un futur qui se dérobe lorsqu’on n’a plus de pays...
Mais l’espoir s’impose dans cette France victorieuse…
Hélène POLYDOROS aborde avec pudeur, sans donner à voir mais à entendre, la thématique de l’immigration vécue comme un exil lorsque le retour au pays n’est pas possible.
Des personnages authentiques, miséreux mais jamais misérables avec, quelles que soient leurs blessures et leur pauvreté, un goût de la vie qui transcende l’existence.
Hélène POLYDOROS
Dédicacera son livre
à PORT DE BOUC
Samedi 14 Novembre de 15 à 19 heures
au restaurant « ô Port !!!»
sur le Port Renaissance
à MARTIGUES
Samedi 21 Novembre de 15 à 19 heures
à la librairie « l’Alinéa »
12, rue Jean Roque - Ferrières
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